Notre Histoire

Notre Histoire

Gamin, je partais en tournée avec mon père et là dans les fermes je regardais, j’écoutais et donc j’ai appris à reconnaitre les animaux qui feraient une belle et bonne viande dans nos assiettes.

Le premier animal… je l’ai acheté quand j’avais onze ans et bien-sûr je m’étais fait rouler dans la farine : c’est sur le terrain que l’on apprend.

Depuis 1959, la boucherie BOCQUET a toujours acheté le bœuf et le veau vivant, directement au contact des éleveurs qui, au fil du temps, ont sans cesse amélioré leur produit.

La qualité de la viande passe par la race de l’animal, son alimentation, son bien être et enfin mon travail de maturation en chambre froide.

La confiance que le boucher met dans son éleveur est très importante et n’a donc pas de prix. Ainsi lorsque le marché est conclu le côté financier n’a souvent pas été évoqué mais la longueur de la génisse, son dos, sa teneur en gras, l’odeur du foin … si.

La qualité reste, le prix s’oublie.

La maturation est un passage très important pour la qualité gustative et la tendreté de la viande.

Généralement, je fais maturer mes quartiers arrière entre 4 et 5 semaines pour pouvoir vendre un morceau succulent.

Faites confiance à votre professionnel.

J’essaie de proposer différentes provenances de viande : nous vendons de la race Salers et depuis 2009 de l’Angus, race écossaise réputée pour son goût tout en finesse, sans oublier le Wagyu (boeuf de Kobé) depuis 2010.

La race Salers vient de d’Aurillac, j’y suis allé lors de mes vacances visiter un copain boucher. C’est une viande de qualité avec un gras croquant, une viande persillée donc tendre et goûteuse.

                                                                                                                                                         Boc’